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Inconnue
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Inconnue
Quelqu'un connaîtrait-il celle-ci ? Marquage MK
Alain D- Super Décapsuleur
- Nombre de messages : 797
Localisation : Montereau (Seine et Marne)
Date d'inscription : 01/12/2007
Re: Inconnue
Marque: | Zatecky Baronka Premium |
Boisson: | Bière |
Producteur: | Zatecky pivovar, spol. s r. o. |
Ville: | Zatec |
URL: | http://www.zateckypivovar.cz |
Pays: | République tchèque |
Ústecký Kraj |
Invité- Invité
Re: Inconnue
c' est une biere
republique tcheque
mais je n' ai pas le nom de brasserie
et c' est pas ma femme
jules
republique tcheque
mais je n' ai pas le nom de brasserie
et c' est pas ma femme
jules
Invité- Invité
Re: Inconnue
Eh bien heureusement, car tu seras bien trop jeune pour elle...
mais elle n'aime pas trop les trop vieux non plus...à lire ici:
La Baronne Ulrika von Levetzow (1804—1899) restait le symbole du romantisme du XIXe siècle. Elle est née le 4 Février 1804 à Leipzig. La baronne n'était pas seulement romantique, mais un symbole.
Elle connut un certain J.W. von Goethe qui l'inspira jusque son dernier souffle...
Vie amoureuse: Après la parution des Souffrances, l'écrivain connut d'autres coups de foudre, successivement avec la baronne von Stein (de sept ans son aînée), Minna Herzlieb (l'inspiratrice des Affinités électives, âgée de 17 ans lorsqu'il en avait 58), Marianne von Willemer ou Ulrike von Levetzow (son dernier amour). En 1822, son épouse étant décédée depuis six ans déjà, il demande en mariage Ulrike von Levetzow (18 ans), qui refuse (il en a 73). Il finit sa vie sous le nom de « Sage de Weimar », fréquenté, courtisé et adulé par l'ensemble des milieux littéraires européens (et plus particulièrement par Carlyle).
Toute son histoire voici:
Elle était la fille ainée de Joachim Otto Ulrich von Levetzow, chambellan du duché de Mecklenburg-Schwerin et futur maréchal de la cour, et d'Amalie von Brösigke; après le divorce précoce de ses parents et le remariage de sa mère elle fut élevée dans un pensionnat français où la suivirent ses deux sœurs, Amélie et Bertha (celle-là issue du deuxième mariage de sa mère).
Goethe tomba amoureux d'elle en 1821 pendant un séjour de cure assez long dans la station mondaine de Marienbad bien qu'elle n'eût que 17 ans. Pour la dernière fois dans sa vie, il ressentit « une grande passion ». On peut y voir le désir de ressusciter chez lui les grandes passions de sa jeunesse et une tentative de fuite devant l'âge et devant la mort. Quand il la rencontra à nouveau deux ans plus tard (1823) Goethe demanda au grand-duc Karl August de Weimar-Eisenach (1757 - 1828) de la demander pour lui en mariage.
Goethe a raconté sa douleur devant le refus de sa proposition dans son « Élégie de Marienbad » qu'il commença à écrire en septembre 1823 pendant le voyage qui l'emmenait de Bohème en Thuringe ; mais Ulrike von Levetzow n'apprit l'existence de ce poème qu'après la mort de Goethe. Le 19 septembre 1823 Goethe écrivait dans son journal : « J'ai terminé de recopier le poème ». En exergue de cette élégie il plaça la devise empruntée à Tasso : « Et si un homme dans ses tourments perd la parole / Dieu m'a donné de dire ce que je souffre ».
Ulrike von Levetzow a bien dit par la suite dans ses brefs Souvenirs sur Goethe qu'elle n'avait aucune envie de se marier, et de fait elle resta célibataire jusqu'à sa mort. Elle était agacée d'entendre dire qu'elle avait éprouvé des sentiments tendres envers Goethe, et elle le démentait fermement. Elle l'avait bien sûr aimé, mais seulement « comme un père ».
Elle mourut à l'âge avancé de 95 ans comme demoiselle-diaconesse du Heiliges Grab, dans une grande propriété qu'elle avait héritée du deuxième mari de sa mère.
voili-voilou...
mais elle n'aime pas trop les trop vieux non plus...à lire ici:
La Baronne Ulrika von Levetzow (1804—1899) restait le symbole du romantisme du XIXe siècle. Elle est née le 4 Février 1804 à Leipzig. La baronne n'était pas seulement romantique, mais un symbole.
Elle connut un certain J.W. von Goethe qui l'inspira jusque son dernier souffle...
Vie amoureuse: Après la parution des Souffrances, l'écrivain connut d'autres coups de foudre, successivement avec la baronne von Stein (de sept ans son aînée), Minna Herzlieb (l'inspiratrice des Affinités électives, âgée de 17 ans lorsqu'il en avait 58), Marianne von Willemer ou Ulrike von Levetzow (son dernier amour). En 1822, son épouse étant décédée depuis six ans déjà, il demande en mariage Ulrike von Levetzow (18 ans), qui refuse (il en a 73). Il finit sa vie sous le nom de « Sage de Weimar », fréquenté, courtisé et adulé par l'ensemble des milieux littéraires européens (et plus particulièrement par Carlyle).
Toute son histoire voici:
Elle était la fille ainée de Joachim Otto Ulrich von Levetzow, chambellan du duché de Mecklenburg-Schwerin et futur maréchal de la cour, et d'Amalie von Brösigke; après le divorce précoce de ses parents et le remariage de sa mère elle fut élevée dans un pensionnat français où la suivirent ses deux sœurs, Amélie et Bertha (celle-là issue du deuxième mariage de sa mère).
Goethe tomba amoureux d'elle en 1821 pendant un séjour de cure assez long dans la station mondaine de Marienbad bien qu'elle n'eût que 17 ans. Pour la dernière fois dans sa vie, il ressentit « une grande passion ». On peut y voir le désir de ressusciter chez lui les grandes passions de sa jeunesse et une tentative de fuite devant l'âge et devant la mort. Quand il la rencontra à nouveau deux ans plus tard (1823) Goethe demanda au grand-duc Karl August de Weimar-Eisenach (1757 - 1828) de la demander pour lui en mariage.
Goethe a raconté sa douleur devant le refus de sa proposition dans son « Élégie de Marienbad » qu'il commença à écrire en septembre 1823 pendant le voyage qui l'emmenait de Bohème en Thuringe ; mais Ulrike von Levetzow n'apprit l'existence de ce poème qu'après la mort de Goethe. Le 19 septembre 1823 Goethe écrivait dans son journal : « J'ai terminé de recopier le poème ». En exergue de cette élégie il plaça la devise empruntée à Tasso : « Et si un homme dans ses tourments perd la parole / Dieu m'a donné de dire ce que je souffre ».
Ulrike von Levetzow a bien dit par la suite dans ses brefs Souvenirs sur Goethe qu'elle n'avait aucune envie de se marier, et de fait elle resta célibataire jusqu'à sa mort. Elle était agacée d'entendre dire qu'elle avait éprouvé des sentiments tendres envers Goethe, et elle le démentait fermement. Elle l'avait bien sûr aimé, mais seulement « comme un père ».
Elle mourut à l'âge avancé de 95 ans comme demoiselle-diaconesse du Heiliges Grab, dans une grande propriété qu'elle avait héritée du deuxième mari de sa mère.
voili-voilou...
Invité- Invité
Re: Inconnue
La capsule ne sera pas demeurée inconnue bien longtemps. Et en plus avec la biographie du personnage ! Chapeau bas et merci .
Alain D- Super Décapsuleur
- Nombre de messages : 797
Localisation : Montereau (Seine et Marne)
Date d'inscription : 01/12/2007
Re: Inconnue
Incroyable !!!!!!!!!!!!!!!!!
Et je remets 100 francs dans le cochon, maitre Capello.
Et je remets 100 francs dans le cochon, maitre Capello.
Invité- Invité
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